Amnesty International ment et reste aveugle

Amnesty International a réclamé lundi à Israël la levée du blocus qu’il impose à la bande de Gaza estimant que cette mesure qui affecte près de 1,5 million d’habitants constitue une « punition collective » intolérable. (Pourquoi Amnesty International ne réclame pas la fin du blocus égyptien qui est tout aussi restrictif que le blocus israélien mais qui contrairement à ce dernier n’a aucune raison fondée ?, ndlr)

L’organisation de défense des droits de l’Homme a réitéré cette demande à l’occasion de la publication d’un rapport intitulé « l’asphyxie de Gaza soumise au blocus israélien ». (Et pas un mot du blocus égyptien ? Pas un mot du blocus du Hamas et des crimes de guerres que cette organisation terroriste a commis et commet actuellement ?, ndlr)

Ce document rassemble des témoignages de Palestiniens qui tentent de reconstruire leur vie après l’opération israélienne dévastatrice « Plomb durci », (27 décembre 2008-janvier 2009) qui a fait 1400 morts et plusieurs milliers de blessés parmi les Palestiniens. (Tout le monde connait la fiabilité des témoignages palestiniens, notamment ceux de la Bande de Gaza. Ils ont perdu toute crédibilité après de nombreux faux témoignages, chacun démonté par des journalistes-investigateurs qui ont pris leur métier à cœur et avec zèle. Ce n’est malheureusement pas le cas de ceux qui relaient le soupe servie par les palestiniens contrôlés par le Hamas qui manipule les médias à longueur de journée, suivant ainsi méthodiquement les principes de sa charte fondatrice, ndlr)

« Ce blocus constitue une punition collective aux termes du droit international et doit être immédiatement levé », a déclaré Malcolm Smart directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty. (Mais pourquoi un tel partie pris alors qu’Israel vit une punition collective depuis sa création ? Et encore plus depuis une dizaine d’années et le début de ces tirs de roquettes aveugles à partir de la Bande de Gaza vers des zones civiles habitées, ce qui est contraire à toutes les conventions de Genève établies et qui constitue un crime de Guerre, ndlr)

« Israël soutient que le blocus (…) répond aux attaques à la roquette sur le sud de son territoire menées sans discrimination par des groupes armés palestiniens. Le fait est qu’au lieu de les viser, ce blocus punit toute la population de la bande de Gaza », a-t-il souligné. (Alors que faire ? Se laisser faire ? Relancer une opération Plomb Durci de plus grande envergure ?, laisser la main au Hamas afin de leur laisser le champs libre à l’établissement d’une politique de la terreur sur tout le Proche Orient ? Pourquoi ne pas accepter la part de responsabilité inhérente aux populations ayant choisit une telle représentation « politique » ?, ndlr)

Selon lui, cette mesure mise en œuvre dès 2006 mais aggravée après la prise du contrôle de Gaza par le mouvement islamiste Hamas, « impose des restrictions aux livraisons de nourriture, de médicaments, de fournitures scolaires et de matériaux de construction ». (Ce qui est totalement faux dans l’absolue puisque ces restrictions sont levées au fur et à mesure que l’armée israelienne s’assure que ces convois ne tomberont pas entre les mains de mouvement terroristes tels que le Hamas, le Jihad Islamique, le Fatah, etc… Malgré cela, les convois arrivant sont monopolisés par des groupes islamistes qui donnent leur contenu aux « bons musulmans », c’est à dire aux hommes qui cautionnent la politique de la terreur du Hamas and co., ndlr)

« Le blocus asphyxie la population, dont plus de la moitié est constituée d’enfants, dans pratiquement tous les aspects de la vie quotidienne. On ne peut laisser se poursuivre l’isolement et la souffrance dans lesquels elle est de plus en plus plongée », a-t-il poursuivi. (Mais pourquoi demander toujours à Israel qui a fait tellement d’efforts pour partir de cette zone que les gens en oublie le fait qu’elle ne l’occupe plus et que ce départ des forces israelienne depuis le retrait de cette bande de terre a laissé une grande porte gérée par l’Égypte que personne ne sermonne pour son blocus de la Bande de Gaza, ndlr)

Amnesty estime qu’en tant « que puissance occupante, Israël a le devoir, en vertu du droit international, de veiller à la qualité de vie des habitants de la bande de Gaza, y compris au respect de leurs droits à la santé, à l’éducation, à l’alimentation et à un logement convenable ». (La puissance occupante de la Bande de Gaza n’est plus Israel. Ce n’est autre que le Hamas. Mais cet aveuglement sert des desseins multiples, notamment la diabolisation d’Israël, la rhétorique pro-palestinienne et pro-islamiste et surtout une terreur mediatico-politique conduisant à une volonté affiché d’isolement global, ndlr)

Israël pour sa part conteste ce point de vue, ne se considérant plus tenu aux obligations de puissance occupante, depuis que son armée à quitté la bande de Gaza l’été 2005 et que toutes les colonies qui y avaient été implantées ont été démantelées. (Une grande partie des ces « colonies » dites « implantées » ne l’ont pas été. Il y a toujours eu une présence juive dans la Bande de Gaza, et ce bien avant l’indépendance de l’Etat Juif. Mais la rhétorique islamiste fait sont chemin en s’imprégnant dans chaque phrase afin de contribuer aux objectifs nazislamistes inspirer de l’ère de la décolonisation, en espérant par la même duper les opinions publique occidentales et proches-orientales, ndlr)

Dans la bande de Gaza, les attaques israéliennes ont endommagé ou détruit des infrastructures et des bâtiments civils, notamment des hôpitaux, des écoles et les réseaux de distribution d’eau et d’électricité. Des milliers de logements ont été détruits ou gravement endommagés. (Et une grande partie de ces zones servaient à lancer des roquettes aveugles sur des civiles israéliens. Les civils gazaouis ont-ils moins de valeurs que des civils israéliens (et de surcroit juifs) selon Amnesty Internationale ? La défense d’une partie a-t-elle moins de valeur que la défense de l’autre ?, ndlr)

Amnesty International estime que 280 écoles, sur les 641 que compte Gaza, ont été endommagées dont 18 complètement détruites. Selon elle, « l’interruption des cours, due aux dégâts causés par l’opération militaire et par la poursuite du blocus israélien, a des conséquences gravissimes vu que plus de la moitié de la population de Gaza a moins de dix-huit ans ».

Elle dénonce le fait que dans certains cas « les autorités israéliennes empêchent des personnes gravement malades, qui ne peuvent pas être soignées à Gaza, de quitter le territoire, ou les font attendre ». (Ce qui est carrément faux puisque de nombreux médecins ont proposé leur aide aux gazaouis malade mais ils ont tous reçu une fin de non-recevoir de la part du Hamas qui préfère laisser « crever » ses population au nom de la victimisation totale du pseudo-peuple palestinien plutôt que de laisser ces pauvres gens se faire soigner pour avoir une existence décente. Après les boucliers humains, le Hamas excelle dans la victimisation forcée d’une population qui ne le souhaite pourtant pas, mais après tout, qui peut se permettre de dire non ?, ndlr)

Depuis la fermeture des points de passage permettant d’entrer dans l’enclave palestinienne ou d’en sortir, les patients sont contraints de déposer des demandes d’autorisation, fréquemment refusées. (…par le Hamas. Mais il est dommage de se répéter en posant la question simple suivant: pourquoi Israel puisqu’il existe une autre frontière avec l’Égypte ? Pourquoi cette focalisation têtue et malsaine sur Israel ?, ndlr)

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