La guerre contre Israël à peine terminée, le mouvement terroriste Hamas reprend déjà “du service” : liquidation de membres du Fatah et main mise sur l’aide humanitaire…
Le “quotidien” du Hamas reprend…
Les Services de Renseignement israéliens ont fait savoir que depuis la décision d’un cessez-le feu unilatéral de la part d’Israël, le Hamas multipliait les tirs sur des membres du Fatah.
Lors des dernières vingt quatre heures, de nombreux coups de feu auraient été tirés sur des représentants de l’Autorité palestinienne chère à son leader, Abou Mazen. A chaque fois, ces tirs visaient les jambes des victimes. Depuis le cessez-le feu, une dizaine de palestiniens du Fatah auraient été blessés.
“J’ai été moi-même visé aux jambes, et pour certains autres, pour la seule raison qu’un sourire était sur leur visage !”, affirme Omer Hadora, ancien officier de la police palestinienne, résidant à Djébalyah.
Toujours selon le Shabak, des manœuvres visant à enlever un grand nombre de membres du Fatah ou des services de sécurité de l’Autorité palestinienne dans la bande de Gaza sont en préparation.
En outre, le Hamas subtilise l’aide humanitaire entrant dans la bande de Gaza, censée venir en aide à la population palestinienne. Ainsi, hier par exemple, des membres du Hamas ont attaqué le conducteur d’un convoi de l’Agence UNRWA afin d’en dérober le contenu, à savoir des produits alimentaires, selon le Shabak.
Les propos des services secrets israéliens sont confirmés par le journal Al Quds al-Arabi, qui affirme que des terroristes ont attaqué lundi un convoi de camions jordaniens qui transféraient l’aide humanitaire dans les entrepôts de l’UNRWA et ont forcé les chauffeurs à déposer leur cargaison dans leurs hangars privés.
L’UNRWA a demandé aux transporteurs de ne plus acheminer l’aide jusqu’à ce que ce le dossier ait été réglé. Des tractations auraient été entamées avec les terroristes pour récupérer la cargaison.
Objectivite.org se demande si la presse internationale fera état de telles informations, et si l’indignation internationale qui avait prévalue lors de la bavure de l’armée israelienne sur un conducteur de l’UNRWA sera aussi de mise cette fois ci. Qui ne dit mot consent.