Les campagnes de boycott sont les formes d’action les plus directes. Les actions de boycott aident à faire prendre conscience d’une situation aux gens, dans la rue, les magasins, chez eux. Dans son essence, le boycott est une arme des « sans-pouvoirs » contre les puissants. Grâce au boycott, l’homme de la rue peut refuser de soutenir l’injustice et faire usage de son droit de choisir en tant que consommateur pour -dans ce cas- appuyer les exigences palestiniennes de liberté et de justice et exprimer son opposition aux positions politiques de son gouvernement et d’institutions. Ainsi le boycott est un moyen pour amener, par la pression d’en bas, des gouvernements et des institutions à réagir sur le plan politique.
Ce que vous venez de lire est le refrain gagnant des anti sionistes et ils ont raison, désolé de vous le dire ! En effet, il faut faire prendre conscience aux gens qu’il y a une injustice en Israël, et qu’il faut appuyer les exigences palestiniennes.
Une véritable preuve de cette injustice ?
Lorsque un juif (non pas forcement un israélien) achète une maison à Jérusalem Est, veut se faire soigner à Ramallah ou décide de vivre à Gaza sous la protection de l’ONU qui prodigue ses droits de l’homme énonçant clairement la libre circulation et la liberté d’établissement des hommes et des femmes sans prérogatives religieuses ou politiques (vaste blague de deux poids deux mesures), il se fait systématiquement refoulr, si ce n’est lapider, tuer ou même kidnapper. L’inverse est pourtant bien différent, car de nombreux (arabes) israéliens, comme par exemple récemment à Gajar, aiment Israël et souhaitent défendre Israël. Mais vous comprenez, ce n’est pas bon pour l’audimat…
D’ailleurs, nous avons aujourd’hui davantage d’informations sur l’identité du membre d’une famille royale arabe venu se faire soigner en Israël. Une princesse issue d’une famille royale d’État arabe du Golfe persique est actuellement en Israël pour y subir une opération complexe du cœur.
Selon un docteur israélien druze, qui dirige un hôpital de renom en Europe, ce dernier aurait recommandé à la famille de se rendre dans l’Etat juif pour y recevoir des soins. Il aurait ensuite contacté le vice-ministre israélien en charge du développement du Néguev, Ayoub Kara, lui-même druze, afin qu’il permette cette opération.
Israël a la réputation d’offrir des soins de grande qualité. Israël a souvent des expertises médicales que même les Américains ou les Européens n’ont pas, l’inverse étant vrai naturellement dans d’autres spécialisations.
Les Arabes vivant en Israël ont toujours profité d’un accès libre et sans limite aux soins médicaux. Les hôpitaux Israéliens ont toujours débordé de patients arabes, qui souvent ne cessent de louer les médecins et les infirmières pour leurs soins et le traitement médical. Des Arabes des pays voisins recherchent les soins des hôpitaux Israéliens.
Des centaines de Gazaouis sont soignés en Israël et on a même été témoin du cas d’une jeune Palestinienne qui s’était fait soigner en Israël et qui y est revenue pour commettre un attentat-suicide. La santé n’a rien à voir avec les convictions politiques. Un autre cas tout aussi absurde pendant la guerre anti terroriste de 2006: une jeune femme nécessitant une hospitalisation à souhaité se faire soigner en Israël, mais le Hamas, mouvement politique pacifiste droit de l’hommiste à refusé de la laisser passer. Depuis, plus de nouvelles de la jeune femme. Et vive la fameuse et délictueuse convention de Genève que certains aiment à brandir… quand ca les arrange.
La sante n’a rien à voir avec les convictions politiques. Des citoyens de pays n’ayant aucunes relations quel qu’elles soient avec Israël, se font soigner dans ce pays. Sans oublier de transformer ces patients en « ambassadeurs » pour montrer au monde l’image réelle d’Israël, pays au service de l’Humanité, pays surmédiatisé avec une subjectivité d’une rigueur unilatérale.
Aujourd’hui, 100% des Israéliens bénéficient d’une pleine couverture des services médicaux. Il est recommandé à tous ces citoyens israéliens (juifs, arabes, druze, kurdes, ouzbeks, français, catholiques, protestants, riches, pauvres, hommes, femmes, transsexuels…) de s’inscrire à l’une des quatre caisses d’assurance maladie (en hébreu « koupot holim », littéralement caisses de malades) où ils peuvent choisir d’acquérir d’autres formes de services médicaux supplémentaires. Par ailleurs, Israël exporte régulièrement dans le monde entier ses ressources médicales, humaines et techniques à des fins humanitaires.
Autant dire qu’il faut vraiment boycotter Israël, et que cela contribuera au bonheur de milliers de pauvres petits palestiniens, cqfd.